Reflet spéculaire du cosmos

 

Paul Sanson présente cinq fictions philosophiques :

24 secondes chrono : Liberté chérie ! Mais où la trouver ? Certains prétendent qu’elle est présente partout, d’autres répliquent qu’elle n’est visible nulle part. Départageons-les par une expérience rapide (elle ne dure que 24 secondes). Il suffit de jeter un golden boy du 24e étage de la tour de la WWCC plantée dans La City.

En forme de NAND : Shakespeare a programmé ses acteurs pour qu’ils s’interrogent : « Le monde entier est-il un théâtre où les hommes et les femmes ne sont que des acteurs ? » That is the question. Sachant qu’il aurait aimé les jeux vidéo, les avatars et les pseudos, Alice, Ector, Zelda et Hal vont en débattre en toute logique électronique.

Le peuple de papier : Combien le monde a-t-il de dimensions ? Disons trois. Einstein se sent plus à l’aise avec 4. Nos physiciens modernes font vibrer leurs cordes en 10, 11, voire 26 dimensions ! Quand on voit les difficultés qu’ont les mages Chô et Frô pour plier les gens en 2D (afin de les stocker dans des livres), et puis pour les en faire sortir, on n’est pas près, nous, d’entrer dans la quatrième dimension.

L’amour, l’être et le néant : Sujet de projet en binôme à l’université : « L’art peut-il exprimer l’Être et le Néant ? » Quand on est nulle et pas aimée, où trouver le binôme capable de résoudre cette équation à trois inconnues : Art, Être, Néant ? Au fond du dépotoir de la fac, elle l’a surpris en train de taguer. Là, contre le mur, une quatrième variable est venue compliquer l’équation : l’Amour.

Reflet spéculaire du cosmos : Dans cette aventure cosmologique de pure fiction, les quatre personnages principaux portent des noms bizarres : Continuum, Infini, Processus, Émanance. Ils s’agitent autour du chaudron où mijote le grand bouillon cosmique. Miracle ! il y a des yeux dans le bouillon.


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